====== Installation de DragonFly sous une machine virtuelle: Qemu ====== ===== 1. Création d'une image virtuelle ===== mkdir ~/dfly cd ~/dfly qemu-img create -f qcow2 dragonfly 5G La taille de l'image est de 5 gigas. ===== 2. Lancement de la machine virtuelle ===== cd ~/dfly qemu -m 256 -kernel-kqemu -hda dragonfly -cdrom dfly-1.12.1_REL.iso -boot d -net nic,vlan=0 -net user,vlan=0,hostname=ezel & Explications des différentes options: * **-m 256** est la quantité de mémoire allouée * **-kernel-kqemu** pour une virtualisation complète * **-net nic,vlan=0** permet d'attribuer une interface réseau à la machine * **hostname** définie un nom à la machine ===== 3. Les différentes étapes ===== {{ :dragonfly:dfly-qemu-0001.png?500 }} L'écran ci-dessus montre les différentes options pour démarrer le liveCD. Il faut écrire ''installer'' au prompt pour commercer l'installation. Si l'on tape ''root'', on lance le [[livecd|liveCD]]. {{ :dragonfly:dfly-qemu-0002.png?500 }} On garde la valeur par défaut pour la langue. {{ :dragonfly:dfly-qemu-0003.png?500 }} On sélectionne la bonne entrée pour lancer le processus d'installation. {{ :dragonfly:dfly-qemu-0005.png?500 }} Il faut sélectionner le bon disque, ''acd0'' correspond généralement à un CDROM, tandis que ''ad0'' à un disque dur. Sous Linux, l'équivalent serait ''hda''. {{ :dragonfly:dfly-qemu-0006.png?500 }} L'image virtuelle sera entièrement exploitée par le système d'exploitation, donc on sélectionne l'entrée adéquate. {{ :dragonfly:dfly-qemu-0007.png?500 }} La capture suivante, nous informe que le « disque » a été correctement formaté. Il possède désormais une seule partition. {{ :dragonfly:dfly-qemu-0009.png?500 }} Dans la nouvelle partition, on va pouvoir créer des tranches (ou slices) correspondant aux différents points de montage (''/home'', ''swap'', ''/'', etc) nécessaire au système. Les valeurs proposées par défaut, pour un disque de 5 gigas. {{ :dragonfly:dfly-qemu-0010.png?500 }} Après modification, {{ :dragonfly:dfly-qemu-0011.png?500 }} On peut maintenant copier sur le disque les éléments de base du système. {{ :dragonfly:dfly-qemu-0012.png?500 }} {{ :dragonfly:dfly-qemu-0013.png?500 }} On met en place le gestionnaire de démarrage, en prenant garde à sélectionner le bon disque (''ad0''). {{ :dragonfly:dfly-qemu-0016.png?500 }} On peut passer à la phase de configuration le système. {{ :dragonfly:dfly-qemu-0018.png?500 }} On retrouve les mêmes étapes, que lors d'une [[install#la_configuration|installation normale]]. Pour ajouter un nouvel utilisateur (autre que le super-utilisateur). {{ :dragonfly:dfly-qemu-0033.png?500 }} {{ :dragonfly:dfly-qemu-0035.png?500 }} Appartenir au groupe ''wheel'', est indispensable si l'on veut se connecter en root. Généralement j'effectue cette étape pendant la phase de //post-installation//, après avoir définie une classe (''french''), et ajouter un nouveau shell (''bash'' ou ''zsh''). On peut supprimer certains paquets, non indispensables. {{ :dragonfly:dfly-qemu-0045.png?500 }} Pour sélectionner les paquets, il faut cliquer sur la **barre espace** {{ :dragonfly:dfly-qemu-0046.png?500 }} On peut maintenant redémarrer le système. {{ :dragonfly:dfly-qemu-0049.png?500 }} ===== 4. Se connecter ===== Par défaut voici l'écran de connexion d'un utilisateur normal (avec comme shell, ''tcsh''). {{ :dragonfly:dfly-qemu-0052.png?500 }} ===== 5. Démarrer directement sur l'image ===== Pour //booter// directement sur l'image, il faut taper cette commande : cd ~/dfly qemu -m 256 -kernel-kqemu -hda dragonfly -boot c -net nic,vlan=0 -net user,vlan=0,hostname=ezel &